A propos de l’école SAINTE-GENEVIÈVE…

En 1826, une ordonnance royale autorise des congrégations religieuses de femmes à œuvrer à l’instruction et à l’éducation des jeunes filles. C’est ainsi qu’aux alentours de 1850, à la demande de M. Didier Klébert, maire de Rives, l’école communale de filles fut dirigée par une institutrice religieuse, de l’Ordre de la Providence de Corenc.

Les expulsions contraignirent les Sœurs à s’éloigner en 1902. (Promulgation de la loi Waldeck-Rousseau sur les associations; cette loi interdisant aux congrégations tout type d’enseignement entre en vigueur en 1904).

Entre les deux guerres, un institut séculier, « Ma Pieuse Union » essaie de faire revivre le « couvent » dit Ste-Geneviève, cet établissement « si réputé dans la région », qui accueille de très jeunes enfants, des fillettes et des jeunes filles en internat ou externat.

Les Sœurs de la Providence reviennent en 1941 et l’Institution Sainte-Geneviève voit s’ouvrir une ère nouvelle avec Mère Marie Imelda-Raillon. Mais, l’année 1952 est marquée par la fermeture  de l’internat; l’école restant ouverte aux externes et demi-pensionnaires. C’est en 1964 que les sœurs quitteront définitivement l’école qu’elles avaient fondée.

Aujourd’hui, Ste-Geneviève et St-Maurice qui a été longtemps l’école des garçons marchent ensemble sous la responsabilité d’une seule direction

esgr_old1.jpg

.